Conséquences environnementales
Ajouté aux nombreuses conséquences sociales et économiques, un tsunami engendre aussi évidemment des conséquences environnementales. Elles peuvents se traduire sous différents aspects notamment la modification des écosystèmes et des agrosystèmes. En effet, lors du tsunami de 1883 provoqué par le volcan Krakatau, les forêts avoisinantes ont toutes été détruites. On peut aussi noter la destruction massive des coraux lors du tsunami 2004.
Un phénomène conséquent et récurrent des tsunamis est le recouvrement des vastes étendues par de l’eau stagnante. Cela aide à la prolifération des bactéries et donc de maladies ce qui nous amène au fait que les conséquences sociales et environnementales sont étroitement liées.
L’eau potable devient aussi très rare, étant souillée par la boue ou contaminée par les corps. L’eau salée peut parfois s’infiltrer dans les puits souterrains des habitations et rendre l’eau qui s’y trouve inbuvable. Les agrosystèmes qui sont créés par l’Homme sont grandement affectés par les déchets que le tsunami apporte en inondant les régions côtières. Ces déchets peuvent être des pollutions déjà présentes dans l’océan ou bien des caractéristiques naturelles de l’eau comme sa salinité qui limite la fertilité des terres et donc la production agricole est très pauvre. Le transport de sédiments est donc une des conséquences les plus observées lors d’un tsunami.
Ces tsunamis ont des conséquences sur le paysage à long terme et à court terme. Par exemple, en Australie, les nombreuses fois que ce phénomène s’est réalisé ont modifié le paysage côtier, de manière à ce qu’il soit facilement reconnaissable en tant que endroit forgé par un tsunami. L’érosion est très souvent remarqué après le passage d’un tsunami et peut être temporaire ou à long terme.
D’un autre côté, les inondations causés par le désastre peut fortement modifié la morphologie du terrain ; bloquant des rivières, déplaçant de larges quantités de terre, affaiblissant le sol et donc la mettant à risque d’un glissement de terrain.
Un phénomène conséquent et récurrent des tsunamis est le recouvrement des vastes étendues par de l’eau stagnante. Cela aide à la prolifération des bactéries et donc de maladies ce qui nous amène au fait que les conséquences sociales et environnementales sont étroitement liées.
L’eau potable devient aussi très rare, étant souillée par la boue ou contaminée par les corps. L’eau salée peut parfois s’infiltrer dans les puits souterrains des habitations et rendre l’eau qui s’y trouve inbuvable. Les agrosystèmes qui sont créés par l’Homme sont grandement affectés par les déchets que le tsunami apporte en inondant les régions côtières. Ces déchets peuvent être des pollutions déjà présentes dans l’océan ou bien des caractéristiques naturelles de l’eau comme sa salinité qui limite la fertilité des terres et donc la production agricole est très pauvre. Le transport de sédiments est donc une des conséquences les plus observées lors d’un tsunami.
Ces tsunamis ont des conséquences sur le paysage à long terme et à court terme. Par exemple, en Australie, les nombreuses fois que ce phénomène s’est réalisé ont modifié le paysage côtier, de manière à ce qu’il soit facilement reconnaissable en tant que endroit forgé par un tsunami. L’érosion est très souvent remarqué après le passage d’un tsunami et peut être temporaire ou à long terme.
D’un autre côté, les inondations causés par le désastre peut fortement modifié la morphologie du terrain ; bloquant des rivières, déplaçant de larges quantités de terre, affaiblissant le sol et donc la mettant à risque d’un glissement de terrain.